A la fin du 20e siècle, certains praticiens occidentaux sont rentrés en contact avec des dépositaires de (ce qui reste) l’héritage de Mikao Usui au Japon. Assez miraculeusement, un congrès mondial fut organisé à Vancouver (Canada) en août 1998. Ce fut l’occasion pour bon nombre d’Occidentaux de découvrir les enseignements de Maîtres japonais qui ont accepté d’ouvrir la porte et de partager leurs connaissances.
Le grand bénéfice de cette fécondation croisée a certainement été la reconnexion des enseignements avec la source spirituelle de la méthode reiki. Ce travail continue encore aujourd’hui, jour après jour, par petites touches. Le tableau prend forme et permet, sinon de retrouver les mots et gestes de Usui Sensei, du moins d’en dessiner le contexte culturel et spirituel.
Dans les grandes lignes, on peut dire que le reiki nourri à ces racines est plus dépouillé, plus intime, moins mécanique que ce que bon nombre d’écoles issues de près ou de loin de la lignée Takata et du New Age enseignent encore et toujours.
La diversité du monde du reiki est un fait. Il faut nous en accommoder. Ce qui compte, comme le rappelle Hyakuten Inamoto, c’est la « position du cœur ».
Le reste n’a, somme toute, que peu d’importance, pourvu que l’on sache d’où on vient et ce qu’on fait ou pas.
Contenu de la formation aux techniques de TEATE
Sur 1 jour pour 3 à 4 personnes idéalement.
Prochaines dates à déterminer. Prendre contact.
150 €
Une quinzaine de « positions » de mains ou de gestes qui complètent et enrichissent notre palette de praticiens.
Un rappel de ce qu’est « être praticien reiki » est bien entendu apporté avant toute chose. En effet, même si cette formation se veut plus « technique », nous ne devons jamais oublier cet enseignement précieux de Hyakuten Inamoto :
Seule compte la position du coeur.
(image Frans Stiene)